DEATH BLOOMS (FLORAISON CADAVÉREUSE)
Le froid a l’air d'une mutilation bancale
Errant à travers les couloirs
L’épaisseur de l’arôme avec l’âge marque le jour
Les reflets de ma vie disparaissent
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
Je veux pas qu’elle se durcisse
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi
Le passé a trouvé sa place
Le salut n'est plus possible
Dieu acceptera-t-il ma paix javellisée
Me pardonnera-t-il
Les reflets de mon âme disparaissent
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
Je veux pas qu’elle se durcisse
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi
Je veux juste courir, voler
Les cerfs-volants luttent, sautent et jouent
Nage à travers les vagues qui s’écrasent pour terrasser mes souvenirs coconnés en misère
J’en ai marre d’embrasser les reflets du temps passé
Reçois moi ou largue moi
... Dieu s'il vous plaît emmenez-moi
Résistance futile, idées suicidaires que je crucifierai
Mon propre être comble l’égoïste qui a besoin de baiser les dieux
Justifier mon propre droit de ce qui m’attend
D’un autre côté il est temps de verrouiller et de charger
J’arrive x 4
Chez moi
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
J’en veux pas, veux pas être dedans
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
J’en veux pas
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
J’en veux pas
Fabricant prends le corps, refuse qu’il veuille de moi
Je veux juste courir, voler
Les cerfs-volants luttent, sautent et jouent
Nage à travers les vagues qui s’écrasent pour terrasser mes souvenirs coconnés en misère
Les ténèbres viennent à bout de l’âme qui plane d’ordinaire
L’existence à côté de la porte
Je navigue à travers la baie du purgatoire
J’ai demandé à un dieu un poison
Berce moi plante mes rêves
Ames cherchant les fleurs de la mort où les nuages sont au-dessus de moi
Dans les mains de Dieu une floraison cadavéreuse
Sombre pour la peur de l’échec
Une tristesse profonde aussi large qu’un œil et fermentant, haine troublante
La mort s’accroche à mes veines dévoilant des pétales rances fleurissant le 4ème nectar infect
L'espace entre un clignement d'œil et une larme
... Floraison cadavéreuse